Aujourd'hui je voulais vous faire découvrir cette artiste irlandaise que je me plais à écouter en ce moment. C'est mon petit coup de coeur du jour !



Cela vous plait ?

son site internet : lisahannigan.ie

Hissez haut !!! Ce matin on prend le large, vous sentez cette petite brise fraiche ?? On part pour Tatihou!!

Tatihou c'est la petite île au large de Saint-Vaast-la-Hougue (prononcez Saint-Va), avec sa tour conçue par Vauban elle m'a toujours fait penser à Kernack la petite île de Claude dans le Club des 5 (vous en lisiez vous aussi?!). Elle en a vu des aventures et de sacrées et bien qu'elle soit petite, un musée sur place retrace les différentes batailles qu'il y a pu y avoir avec les anglais.

Aujourd'hui tout est devenu bien plus calme, c'est une réserve pour les animaux, les mouettes y nichent et le fort est revenue une réserve ornithologique. L'été un festival "Les Traversées de Tatihou" nous fait découvrir des musiques celtiques marines qui seront diffusées jusqu'aux côtes grâce au vent.

Cela faisait un moment que je n'en avais pas fait mais là j'ai deux articles dont je voulais vous parler.

Le  Gastronome Parisien  nous emmène manger des macarons et nous fait découvrir le celui du Jardin des 8 Trésors de Pierre Hermé (miammm miammm).
Avec des graine de Lotus, de la datte Rouge, wolfberry, des boutons de Roses,  de la peau d’Orange séchée, du longane Séché, des chrysanthèmes et du osmanthus. C'est la quatrième étape gourmande de la Collection 2014 : Le Jardin des 8 trésors. Les huit trésors traditionnels de la Chine, huit facettes d’un goût subtil, envoûtant et inédit. La boîte contient sept macarons. Il y a de quoi saliver !

Le blog de TokyobanhBao   revient d'un voyage au Japon et retrace en ce moment même son séjour à Tokyo. C'est dépaysant, frais, avec de superbes photos et croquis, bref j'adore et je suis en attente de ses nouveaux posts !

Un thé pour Yumiko, de Fumio Obata, je l'ai trouvé il y a peu de temps au Salon du livre à Paris. Belle découverte, je ne connaissais ni la bd, ni l'auteur, des fois l'instinct fait bien les choses.

Résumé : Quand elle apprend la mort de son père, Yumiko, jeune graphiste londonienne, doit partir au Japon pour assister à la traditionnelle cérémonie des obsèques. Le voyage au pays de ses origines, jusque dans la ville où elle est née et a grandi, se révèle une
succession d'émotions contradictoires et bouleversantes. Qui est-elle devenue loin de chez elle?
source : www.bd.gallimard.fr


J'ai été tout de suite attirée par le graphisme : le trait est délicat, sensation accentuée par l'aquarelle. L'histoire est, elle aussi, tout en douceur, pleine de sensibilité. Il est à l'image du Japon, bien qu'on aborde ici la mort, l'humilité et la pudeur sont de mises à chaque instant. Sa lecture ne vous laissera pas indifférent.

Même ma mère qui ne lit pas de bd, l'a lu et a adoré !

informations
Un thé pour Yumiko de Fumio Obata, aux éditions Gallimard

Première adresse française où déguster de très bon Angel Cake (ou Chiffon Cake).  Youlin Ly, le patron, partage ici ces petites douceurs nippones préparées par la chef pâtissière Aya Tamura Leroy.
Au final pour 2 angels cakes sur place, nous payons 14€, un peu cher mais cela en valait le coup. Un petit délice à s'offrir de temps en temps !



Renseignements : 
Pâtisserie Ciel
3 rue Monge, 75005 Paris
01 43 29 40 78
www.patisserie-ciel.com

Ouvert du mardi au jeudi de 10h30 à 23h00
du vendredi au samedi de 10h30 à 01h00
et le dimanche de 10h à 17h.

Tarifs
Pour le petit format, 4€ pour la vanille, chocolat ou earl grey, 5€ pour le framboise, yuzy et 6€ pour le sakura (rajoutez 2 € pour le manger sur place)
Pour le moyen format 18 € et 22 € le grand Angel Cake sur commande.

Terre d'Oc, kesako ?
Vous avez sûrement vu ces petites boites si vous avez un Natures et Découvertes proche de chez vous.

D'abord, créateur de produits de beauté, ils se lancent en 2003, dans la vente de thé.
La marque LE THÉ DE L’HOSPITALITÉ est créée en partenariat avec Olivier Scala, un dégustateur expert en thé, il est d'emblé un geste de convivialité et d’hospitalité, un thème proche de leur philosophie.

Terre d’Oc propose une collection de thés biologiques sélectionnés pour leurs origines. Véritables parfums de voyage, découvertes des cultures du monde et d’inspirations lointaines, là où le thé est un véritable rituel d’hospitalité et de convivialité.
Des thés inspirés de recettes traditionnelles rapportées des 4 coins du monde…


Les thés, le test !

Thé pêche-abricot // Très léger, son goût est aussi subtile que son parfum est délicat. Un petit délice à déguster dans l'après-midi ou en soirée. Jolie découverte !

Thé à la cannelle // Pas mal, il rappelle forcément les thés de Noël. J'aime la cannelle donc cela ne me pose pas de problème, pour ceux et celles qui aiment moins je le déconseille. A déguster pendant les dures journées d'hiver ou faire un chaï latte.

Thé vert à la menthe // Mon classique préféré ! Ici la menthe est un peu discrète à mon goût, j'aime avoir bel arôme de menthe bien présent, mais il reste bon et rafraichissant. Pourquoi pas ne pas tester en thé glacé maison !

Thé rouge Earl Grey // Là aussi un classique qui plait forcément. Le thé rouge le rend plus doux que le traditionnel thé noir que j'apprécie moins. Idéal à tout moment de la journée, c'est un excellent thé.




Eh vous savez quoi ?? Ils font également du rooibos vanille!!!


Merci à eux pour cette jolie dégustation !

Avec ma fidèle acolyte avec qui je teste les établissements le midi de temps en temps, nous décidons de nous poser au Rouge Vif, nouveau bar à tapas - épicerie - et resto sur le pouce qui vient d'ouvrir rue Christine à Cherbourg.

Bien que le bar soit plein le soir, l'information qu'il propose des plats simples pour le midi n'est pas encore arrivée partout car il n'y a personne quand on rentre, on a de la place pour nous !
Le style du bar est très agréable (un peu froid peut être dû au style industriel / métallique des lieux) et une décoration originale.

Plusieurs choix s'offrent à nous : une salade, une focaccia ou un sandwich. Pour chacun, nous sélectionnons dans l'épicerie qui se trouve au fond du bar les garnitures qui viendront dedans : charcuterie et fromage ! Et il y a du choix, tellement que ne sachant trop par quoi commencer, je me laisse guider par le serveur : ce sera jambon blanc et comté!

Quelques minutes plus tard nos assiettes arrivent accompagnées de salade (jusqu'ici normal) et de légumes du soleil grillés !

Tarif : 6,50€ la salade ou la focaccia, 4,50€ le sandwich
J'ai ♥ : la possibilité de choisir sa garniture, on voit et choisi les produits que l'on va manger, gage de qualité
J'ai moins ♥ : la vinaigrette épaisse mise dessus qui ressemble à de la sauce Amora, cela gâche cette bonne salade alors qu'une seule touche de vinaigre balsamique sublimerai tout ca (#balsamiqueaddict !)

On ne présente plus Amélie Nothomb, cette auteure belge qui arrive à sortir un roman par an à chaque rentrée littéraire. On me l'a offert à noël et comme j'avais été déçue par le livre  Le Fait du Prince (je n'avais pas du tout aimé l'histoire) j'appréhendais d'ouvrir ce livre. Et cela aurait été une belle erreur !

Dans ce livre, Nostalgie heureuse, nous sommes dans un autre univers.
Ce n'est pas un roman, c'est le récit autobiographique sur son retour au Japon. Pour un reportage documentaire, elle revient avec une équipe télé dans son village natal, retrouve sa nourrice et son ancien amour, sachant que cela se passe 1 an après la tragédie de Fukushima.

L'émotion y est présente, autant par le fait des souvenirs qui ressurgissent et de la joie de retrouver des êtres qu'elle a aimés mais également car beaucoup de choses ont été détruites suite au tsunami.
J'y ai retrouvé le trait léger que j'aimais chez elle. Rien à voir avec le Fait du Prince.
Nous sommes spectateurs de son émotion, constamment présent même quand elle pleure, tout comme si c'était nous qui avions la caméra sur l'épaule.
Bref ce livre est une très jolie lecture philosophique que je vous invite à découvrir.

Je vous laisse avec la critique du Figaro magazine qui m'a fait sourire. « Amélie Nothomb excelle dans l’art de la traduction des sentiments… La Nostalgie heureuse est un petit livre que l’on déguste comme un chirashi de saumon sur tendre bol de riz parsemé de graines de sésame –c’est-à-dire avec appétit et bonheur. » Le Figaro Magazine

Acheter La nostalgie heureuse

Il y a des lieux que tout gourmand et gourmet qui se respecte se doit d'aller visiter. Le marché Jean Talon, en plein Montréal, est de ces lieux ! Il est gigantesque (c'est quand même le marché le plus important d'Amérique du Nord) avec tous les produits que vous voulez, ouvert tous les jours, c'est le paradis !

Il y en a pour tous les goûts : à l'entrée les poissonniers, avec vente à emporter de calamars frits puis la charcuterie, des nems qui semblaient divins, des plats marocains, libanais, etc.
Ensuite venait les légumes : des étales entières de poivrons, aubergines, pommes de terres et les fruits, pommes, bleuets, fraises, prunes etc. Généralement tous regroupés par type de produits sur toute une étale et à certain endroit des assiettes pleines sont mises à disposition pour goûter le fruit, il s'agit des pêches tout particulièrement, mais en fonction des saisons et des produits je pense que cela change.

Alors forcément, moi, avec les petits marchés que je fais (et que j'ai fait à travers la France) habituellement, j'étais toute perdue par tant de marchandises et par l'immensité du lieu. Tout me donnait envie, difficile de ne pas résister.

Lors de mon passage à Strasbourg, un jour où j'allais retrouver une amie qui s'était installée dans la région, je suis rentrée dans une boutique du Palais des Thés.  Jusque là rien d'anormal me connaissant. Et je suis tombée sur une boite de thé différente, en terre cuite avec des signes chinois dessus, elle m'a tout de suite attirée l'oeil. Je l'ouvre alors pour sentir le parfum de ce thé, il faut savoir que je choisis mes thés à leur parfum, et j'ai tout de suite accroché à celui ci : délicat, fin et envoûtant.

Pourtant il s'agit d'un thé noir et je n'en raffole pas car ils sont bien souvent trop fort à mon goût. Mais celui ci est différent, bien plus léger. C'est un mélange de thé vert, de thé noir, de vanille, de jasmin et de bergamote : le Thé des Moines.

Qu'est ce que c'est ?? 
Au Tibet, une légende raconte qu'une communauté de moines préparait dans le plus grand secret un mélange de thé, de plantes et de fleurs. Après quelques jours de macération, les feuilles de thé étaient soigneusement triées et mises de côté. Par cette mystérieuse alchimie, les moines changeaient le thé en or et donnaient au Thé des Moines son parfum exceptionnel. 

Le précieux thé était ensuite stocké dans de petits pots en terre fermés par une corde de bure. 
Ainsi protégé, le Thé des Moines pouvait être conservé pendant de longs mois tout en gardant son envoûtant parfum. 

Inspiré d'une recette ancestrale élaborée dans un monastère tibétain, le Thé des Moines est un mélange rare, à la saveur unique.
source : le Palais des Thés

Je le trouve où : sur le site du Palais des Thés
Je le déguste : dans l'après midi
J'y trempe : des madeleines natures
article non sponsorié

Nous avons passé cette nuit la barre des 50 000 visites depuis l'ouverture du blog. L'aventure ne serait pas la même sans vous, merci et à bientôt pour de nouvelles pauses !

Je suis le blog "A Boire et à manger" de Guillaume Long depuis plusieurs mois, je vous en avais parlé il y a quelques semaines lorsque j'ai découvert son compte instagram dans un de mes résumés de la semaine.


Résumé : Quels sont les ustensiles indispensables à tout cuisinier qui se respecte ? Où trouver l'ail des ours ? Que faire de nos amies les courges ? Où aller manger si vous êtes à Venise ? Et préparer un bon apéro ? Et un risotto aux asperges ? Et les crêpes ? Pour Guillaume Long, la cuisine est un art de vivre ludique et les réponses à ces questions s'écrivent en bande dessinée. Il recompose pour le livre les notes, recettes, anecdotes, portraits... imaginés pour son blog gastronomique.

Qui est il ? Guillaume Long est né en 1977 à Genève, au pays du chocolat et du fromage. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour la cuisine et observe souvent sa mère aux fourneaux, ce qui n'empêche pas son premier pain d'être remplacé in extremis par celui du boulanger sur la table familiale. Diplômé de l'école des beaux-arts de Saint-Étienne en 2002, il obtient l'année suivante le prix Töpffer pour son album « Les sardines sont cuites ». Ensuite, il mitonne plusieurs livres pour petits et grands et travaille pour la presse, toujours entre deux repas. Depuis 2009, ce fin gourmet est un homme comblé puisqu'il marie avec humour cuisine et bande dessinée dans un blog gastronomique hébergé sur le site du journal Le Monde, et savamment intitulé « À boire et à manger ».
A boire et à manger,  tome 2, 20€